La mort
6/14/20244 min read


La mort est un concept qui fait très peur!
Il suffit de prendre un peu de recul afin d'observer ce qui s'est passé au niveau psychologique chez les humains au cours de l'expérience Covid.
La peur a été installée partout, dans nos comportements quotidiens, nos relations et, soit disant, pour nous protéger de la mort, nous nous sommes retrouvés confinés, assujettis à un certain nombre de règles absurdes, étouffés par des masques et nos émotions refoulées, harcelés par le gouvernement et ceux qui l'ont cru (ainsi que par ceux qui avaient d'énormes intérêts financiers à le faire) afin de nous pousser à nous faire "vacciner" et ceci sous de multiples formes aussi fallacieuses les unes que les autres.
Unicef: Don't let the vaccine become a luxury • Ads of the World™ | Part of The Clio Network
Comme les gentils petits enfants non éduqués à affronter la mort que nous sommes mais si bien éduqués à suivre les consignes scolaires puis gouvernementales, oublieux des règles de la vie, beaucoup ont suivi ou abdiqué.
La mort s'est retrouvée partout, à la télévision, dans les médias pervertis, sur les affiches publicitaires, chez les médecins et même jusque sur le visage de nos enfants... tout est devenu menace de mort imminente, urgence, danger et peur!
Parce que, contrairement aux peuples dits primitifs, le peuple occidental vraiment très primitif que nous représentons ne sait plus ce qu'est la mort.
La mort est vue comme une punition, une fin en soi et pour peu que la religion soit passée par là, comme la porte vers le purgatoire, où nos âmes seront jugées coupables avant de nous mener tout droit en enfer!!!
Dans les tribus peuplées de ces êtres qui n'ont pas oublié leurs racines, vit le chaman et celui-ci sait libérer l'âme des défunts des sorts et magies ou encore du poids de la culpabilité liée à un karma tragique afin que ceux-ci puissent continuer leur route et non errer dans la bas-astral.
Et, pour la tribu, composée de la famille du défunt mais aussi et surtout de tous les êtres composant la tribu, il s'agit d'accompagner le défunt, non pas vers sa dernière demeure mais vers la suite de son évolution, dans un rite de passage et d'amour agrémenté de chants, de danses et de mets de fête partagés avec l'âme du défunt et les différentes présences invisibles qui aident à ce passage.
Ainsi, la mort est perçue pour ce qu'elle est:
l'abandon d'un vaisseau de passage, devenu obsolète, destiné à traverser une expérience, dans laquelle nous avons eu l'opportunité d'apprendre.
Ensuite l'âme se retrouve dans une vie intermédiaire, où elle fait le point avec ses guides, avant de se diriger vers une nouvelle incarnation, qu'elle aura choisi la plus adaptée à son chemin de vie et à vivre certaines leçons.
Pourquoi cela ne nous est pas enseigné à l'école et dans nos familles?
Nous serions tellement plus sages et sereins de connaitre cela dès l'enfance au lieu de vivre dans la peur de cette fin inéluctable qui ne correspond qu'au pourrissement du corps pour de si nombreux terriens!!
Comment pouvons-nous traverser et comprendre l'existence sans même savoir que nous avons choisi le corps actuel pour amener à exprimer l'Esprit (notre Divinité) à travers son âme (du latin anima, le souffle, la respiration, le principe de vie en nous)?
De notre première incarnation à la dernière, il s'agit de comprendre en chemin que la mort est une illusion et que notre chemin à tous est celui qui mène à notre retour à la Source, à Dieu.
Si chacun de nous pouvait vivre comme le font les enfants, en laissant s'exprimer cette vie qui ne demande qu'à s'exprimer en nous, ce qu'on appelle enfant intérieur, la vie sur terre serait si différente de ce que nous connaissons actuellement.
Si chacun faisait chaque action dans la joie, quelle qu'elle soit: cueillir ses aliments, les manger, les cuisiner, dans la joie et la gratitude, coudre ses vêtements à partir de matières nobles et respectueuses de la vie, peindre, sculpter, chanter, danser, dessiner, méditer ou se reposer, fabriquer des objets dans le bonheur de faire pour autrui, dans la gratitude et dans la joie, l'expérience commune serait si différente.
Chacun se laisserait infuser et inspirer par l'Esprit Saint présent en chacun, exprimant ce qui lui est possible de vibrer de plus pur dans l'instant présent.
Il n'y aurait plus de guerre, plus de mort, plus de peur, il n'y aurait que la joie du moment présent, la joie de vivre.
Même le nom de mort serait changé pour celui de passage ou de transition et l'être humain, prenant conscience de plus en plus de sa nature divine et immortelle jusque dans chacune de ses cellules, pourrait vivre plus de 1000 ans.
Quant à la peur, étant un état de conscience dans lequel nous nous plaçons, croyant avoir perdu notre Divinité, notre vraie nature, cette notion de séparation disparaitra bientôt sur terre elle aussi.
Comment avoir peur alors que nous sommes conscients de qui nous sommes, de ce que nous sommes venus faire ici et où nous mène ce rêve que nous créons? C'est-à-dire l'amour???
Conscient de chaque instant car chaque instant est l'Eternité , dans l'unité de son coeur, là où nous avons placé le siège de l'amour, dans la joie de transmettre cette Divine vibration à travers la création de chaque geste, c'est ainsi que sera chaque être humain bientôt.
J'espère que ces quelques mots vous aideront à entrevoir ce que l'on nomme la mort d'un regard beaucoup plus serein.